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La Géorgie a ancré son statut d’économie libre grâce à sa politique budgétaire, à son efficacité réglementaire et à ses politiques de marché ouvert. Selon le rapport « Doing Business 2020 » de la Banque mondiale, la Géorgie occupe le 7e rang pour la «facilité de faire des affaires» parmi 190 économies, le 2e pour la «facilité de création d’entreprise» et le 5e pour la «facilité d’enregistrement des biens».
En 2019, l’agence Fitch a relevé la note de défaut des émetteurs en devises long terme de la Géorgie de «BB-» à «BB» avec une perspective stable. Comme l’explique Fitch, cela était dû au fait que le pays a maintenu une une politique économique résiliante pendant les chocs régionaux de 2018 et ajoute que la Géorgie se classe au-dessus des médianes actuelles de ses pairs de la catégorie «BB». Standard & Poor’s a également relevé le classement de la Géorgie de «BB-» à «BB», tandis que la note de Moody’s pour la Géorgie s’est maintenue à «Ba2».
Les procédures administratives de création d’une nouvelle entreprise prennent un maximum de deux jours et ne nécessitent aucun apport de capital minimum. Le «Heritage Foundation Index of Economic Freedom 2020», inclue l’économie Géorgienne dans sa catégorie « Mostly Free », en la classant au 12e rang sur 180 pays.
With only six flat-rate taxes (personal income tax – 20%, VAT – 18%, profit tax – 15%, import tax – 0%, 5% or 12%, Excise import tax on selected products (Petroleum, tobacco, alcohol), and a property tax capped at 1%) and the Estonian tax model implemented in 2017 which exempts undistributed earnings from profit tax, has made Georgia one of the most competitive places to invest. Georgia’s various free trade agreements includes: Double Taxation Treaties with 56 countries and with the EU through DCFTA (since 2014).
Afin de stimuler les investissements et tirer la croissance économique, les gouvernements géorgiens successifs depuis 2004 se sont attachés au développement d’un système fiscal attractif. Avec seulement six impôts forfaitaires (impôt sur le revenu des particuliers – 20%, TVA – 18%, taxe sur les bénéfices – 15%, taxe à l’importation – 0%, 5% ou 12%, taxe d’importation spéciale sur quelques produits sélectionnés (Pétrole, tabac, alcool), et une taxe foncière plafonnée à 1%) et le modèle fiscal Estonien mis en œuvre en 2017 qui exempte les profits non distribués de l’impôt sur les bénéfices, a fait de la Géorgie l’un des endroits les plus compétitifs pour investir. Les différents accords de libre échange de la Géorgie comprennent: les traités de non double imposition avec 56 pays et avec l’UE au travers de l’ALECA (depuis 2014).
Le Royaume-Uni, la Turquie et l’Irlande ont été les principaux investisseurs, avec respectivement 19,5%, 18,7% et 10,5% de parts de marché. Quant à la répartition sectorielle, 20,6% du total des FDI ont été investis dans le secteur financier, tandis que le deuxième et le troisième étaient les secteurs de l’énergie et de la fabrication avec respectivement 15,4% et 13,4%.